Assassiné dans sa propre église d’une manière particulièrement barbare, le père Hamel a sans doute rejoint au paradis les moines de Tibéhirine, ou encore les coptes assassinés sur une plage de Libye, les chrétiens d’Irak, du Pakistan ou du Bengladesh tués à cause de leur religion, mais aussi les victimes d’Ansbach et d’Orlando, celles du Bataclan ou de la promenade des Anglais, les enfants juifs de Toulouse et les anars de Charlie Hebdo
Lire d’Edito du journal Sud Ouest signé Bruno Drive